Liv Strömquist, l’autrice des Sentiments du Prince Charles, adore : « Elle m’impressionne terriblement. Je suis une grande fan de ses BD. »

À 25 ans, la vie de Moa est rythmée par les soirées électro et les séances de psy, où elle tente de gérer des crises d’angoisse qui la paralysent. Et puis il y a ce match sur Tinder : « star du petit écran, 53 ans ». Une relation s’engage par quelques emojis timides. Moa a-t-elle trouvé le grand amour ? Pas si sûr…

Dessiné dans un style visuel unique, entre les peintures de De Chirico et la culture underground des années 1980, Moa Romanova réinvente, avec Toujours tout foutre en l’air, le roman graphique autobiographique. À la fois drôle et profond, Toujours tout foutre en l’air décrit une jeunesse au bord du burn-out, entre dépendance affective, volonté indestructible et créativité en herbe. Moa Romanova est née en 1992 et publie dans de nombreux journaux. En Suède, c’est déjà une star.

Moa Romanova

Dessiné dans un style visuel unique, entre les peintures de De Chirico et la culture undergound des années 1980, Moa Romanova réinvente, avec Toujours tout foutre en l’air, le roman graphique autobiographique. À la fois drôle et profond, Toujours tout foutre en l’air révèle une nouvelle facette de la jeunesse contemporaine, entre dépendance affective et volonté indestructible. Moa Romanova est née en 1992 et publie dans de nombreux journaux. En Suède, c’est déjà une star.

La presse en parle

« Toujours tout foutre en l’air se caractérise par sa modernité et même son ultra-contemporanéité, qu’il s’agisse du récit – un point de vue subjectif associé à des maux universels – ou du dessin – inspiré de tout ce que la bande dessinée alternative a pu produire ces dernières décennies, du fanzinat des années 1980 à l’impression en risographie très en vogue depuis quelques années. » (lire l’article)
Frédéric Hodjo, Actuabd