Cons de fée
Wallace Wood
Préface : Bernard Joubert
160 pages
21 x 28 cm
N° coll : REV012
Prix TTC en France : 29 €
ISBN : 979-10-96119-38-7
Parution : octobre 2020
Ouvrage soutenu par le CNL
Cette édition reprend l’intégrale des BD érotiques de Wallace Wood, dont de nombreuses raretés et inédits.
Dessinateur de la galaxie des EC Comics, Wallace Wood est surtout connu pour ses récits de guerre. Mais il eut aussi une carrière d’érotomane, dont Cons de fée est la somme. Parodiant des grands personnages de la pop culture, dans la tradition du magazine Mad auquel il collabora, Wood fait ainsi la nique à Blanche-Neige, Alice au pays des merveilles, Prince Vaillant et autre Flash Gordon. Son trait, virtuose, passe ainsi du soft à l’érotique en passant par le définitivement pornographique.
Wallace Wood
Wallace Wood (1927-1981) est l’un des grands maîtres de la BD américaine. Il débute dans la bande dessinée à l’âge de 21 ans et dessinera jusqu’à sa mort. Il a oeuvré pour Warren, DC Comics, Marvel, Tower, tout en poursuivant une carrière plus underground. Ruiné, alcoolique et à demi-aveugle, il se suicide en 1981.
La presse en parle
« Avec une nouvelle traduction, de nouvelles numérisations et de nombreux inédits qui augmentent considérablement le fascicule publié par les éditions du Fromage en 1977 et désormais introuvable. »
Bernard Joubert, Les Cahiers de la BD
« Bref, inutile de dire que les amateurs de cet auteur (un des auteurs US les plus intéressants des années 1950-1970 selon moi), ainsi que les lecteurs curieux (mais avertis et majeurs !), ne peuvent que remercier Revival de leur offrir la possibilité de se replonger dans cet univers loufoque, drôle et fortement érotique voire pornographique: il s’en dégage une fraicheur et une transgression joyeuse que l’on rencontre de plus en plus rarement dans la production contemporaine. »
Noirdesir, www.bdtheque.com
« Parmi les réjouissances, « Mon monde », regard de Wood sur New York, sa pollution et sa criminalité, l’avènement du cinéma hardcore et la libération sexuelle, et dont les dernières cases révèlent l’autoportrait du dessinateur désabusé et provocateur. »
Christophe Bier, dans l’émission « Mauvais genre », www.franceculture.fr (19.12.2020)